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Le début d’une histoire, c’est le premier pas dans un univers infini de sensations et de choix, un chemin sans carte où chaque tournant promet une nouvelle découverte. Imaginez, Écrivez.

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Chaque chapitre que tu ajoutes est une brique de plus dans un édifice en constante construction, une étape supplémentaire dans un voyage où l’imagination est la seule limite. Continue, l’histoire se tisse grâce à toi !

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Chaque suite apporte une nouvelle couleur à l’histoire, mais c’est à vous de décider quelle direction empruntera l’aventure ! Votez pour la suite qui vous touche le plus et faites de votre choix un nouveau tournant dans cette histoire collective.

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Histoires qui attendent votre suite

Action-Aventure

Kael et Elara


La pluie tombait en torrents, dévalant les pentes rocheuses du canyon avec une violence aveugle. L’air était saturé de vapeur, la brume enveloppant tout sur son passage. À peine quelques mètres de visibilité devant eux, et pourtant, les deux figures avançaient, déterminées, au cœur du chaos.

Kael, vêtu d’une armure noire, les traits marqués par les années de combat, marchait d’un pas résolu. Ses yeux, d’un bleu glacial, scrutaient chaque ombre, chaque recoin, comme s’il attendait que l’obscurité se mette en mouvement. Ses gantelets serrés autour de ses poignets brillaient brièvement à chaque éclat d’éclair, et son épée, large et effilée, reposait contre son dos, prête à être dégainée à la moindre alerte.

Derrière lui, Elara, agile comme une ombre, avançait sans bruit, son manteau de voyage flottant derrière elle comme une voile. Elle portait une dague fine à la ceinture, mais c’était la magie qui brillait dans ses yeux qui était son arme la plus redoutable. Chaque geste qu’elle faisait semblait calculé, précis, et son regard ne se détournait jamais de l'horizon, comme si elle percevait des menaces invisibles aux yeux de Kael.

Leurs pas résonnaient à peine sur le sol boueux, et chaque fois qu’ils s’arrêtaient, c’était pour observer les alentours, évaluer un danger imminent. La nature elle-même semblait se tordre sous la pression du moment — les éclats de lumière créaient des silhouettes fantomatiques, des ombres mouvantes qui n’existaient peut-être que dans leur esprit. Mais Kael et Elara savaient que quelque chose les traquait, un danger plus sombre que la tempête, une menace implacable, tapie dans les ombres.

Au bout d’une heure de marche, le terrain s’élargit soudainement devant eux, dévoilant un ancien temple en ruine, les pierres noircies par le temps et les intempéries. La porte principale, grande et imposante, était ouverte, mais une lourde aura de menace émanait de l’intérieur, comme un appel qui ne pouvait être ignoré.

Kael s'arrêta une fraction de seconde, analysant les lieux. Il tourna son regard vers Elara, qui, d’un simple mouvement du doigt, fit jaillir une faible lueur verte, un sort de protection qu’elle lança autour d’eux. Un écho de magie parcourut l’air, lissant momentanément la tension dans l’atmosphère. Ils se regardèrent une dernière fois, comme pour vérifier qu’ils étaient prêts, puis s’avancèrent, unis dans la même mission.

Au moment où leurs pieds franchirent le seuil du temple, un grondement sourd se fit entendre dans les profondeurs, une vibration de terreur ancienne. Leurs cœurs battirent plus fort, mais aucun des deux ne ralentit. Ils savaient que la véritable épreuve était juste au bout du chemin, et qu’aucun retour en arrière n’était possible.

Temps bonus (manque 01 vote) : 01 heures 19 minutes 32 secondes

2 chapitre(s)
3 suite(s) proposées
FanFiction

Les Ombres du Passé


La pluie battait contre les fenêtres du Terrier, créant un murmure incessant qui semblait envelopper la maison d’un voile d’intimité. À l’extérieur, le vent soufflait avec une force inhabituelle, arrachant les dernières feuilles des arbres et les envoyant en tourbillons dans l’air frais d’automne. À l’intérieur, l’atmosphère était chargée d’une chaleur réconfortante, l’odeur du pain frais et du thé flottant dans les airs.

Dans une pièce éclairée par des bougies vacillantes, Harry Potter se tenait près de la fenêtre, le regard perdu dans la nuit. Ses yeux suivaient le chemin sinueux de la rivière qui serpentait à travers la vallée, indifférente au tumulte qui l’entourait. Ses pensées étaient aussi agitées que l’eau qui se heurtait contre les pierres, inlassablement, sans jamais trouver de paix.

Il n’était plus l’adolescent qui avait affronté la terreur de Voldemort. Le temps avait fait son œuvre, emportant avec lui les souvenirs d’une guerre qu’il avait cru avoir laissée derrière lui. Mais quelque chose d’autre s’éveillait en lui, une sensation persistante, un malaise qu’il n’arrivait pas à ignorer. Un souffle d’inquiétude, une intuition sourde, qu’il ne pouvait pas simplement mettre de côté.

La lumière dans la pièce vacilla, et Harry ferma les yeux, laissant la clarté faible de la bougie se refléter dans ses souvenirs. Des visages passaient dans son esprit, des souvenirs bruts, des échos lointains de ceux qui étaient partis. Ron et Hermione. Ginny. Des rires, des pleurs, des moments partagés dans une lutte commune. Mais aujourd’hui, il n’y avait plus que le silence de la pièce, lourd de secrets qu’il ne comprenait pas encore.

Le vent souffla plus fort, et une porte grinça au loin. Harry se tourna brusquement, ses sens en alerte. Il n'y avait pourtant personne d'autre dans la maison. Le calme qui suivit était plus lourd encore, comme une attente.

Le bruit d’un livre qui se ferme doucement, un frémissement dans l’air, une lueur d’argent quelque part dans la pénombre. Un symbole ancien. Un avertissement, ou peut-être un appel.

Et Harry savait, d’une manière qu’il ne pouvait expliquer, que ce qui arrivait n’était pas seulement le poids du passé qui le rattrapait. Non, quelque chose de bien plus grand, de bien plus sombre, commençait à se tisser, dans l’ombre de ce monde qu’il avait cru réconcilié.

Il prit une profonde inspiration, se redressant. Un choix devait être fait. Bientôt.

Temps bonus (manque 01 vote) : 13 heures 19 minutes 32 secondes

2 chapitre(s)
3 suite(s) proposées
Romance

Un Café Partagé


Aminata entra dans le café, le matin encore jeune, avec une lumière douce qui inondait la pièce. Le lieu était intime, presque secret, avec des murs tapissés de livres et l'odeur chaleureuse du café fraîchement moulu flottant dans l'air. Elle s’arrêta un instant à l'entrée, observant les visages paisibles autour d'elle. Puis, ses yeux se posèrent sur une table près de la fenêtre, où un homme était assis seul, un livre ouvert devant lui, ses doigts effleurant la tasse.

Sans hésiter, elle s'approcha de la table. L'homme la remarqua à peine, trop absorbé dans sa lecture. Elle se pencha doucement en avant.

'Excuse-moi, je peux m’installer ici ?'

Il leva les yeux, et à cet instant précis, un silence étrange s'installa entre eux. Ses yeux noirs la scrutèrent, un éclair d’intérêt s’allumant dans son regard. Il sourit légèrement, puis déplaça son livre, sans un mot.

Aminata s'assit en face de lui, un peu surprise de la manière dont l’échange s'était fait, aussi naturel qu’un échange de regards. Elle observa le café qui fuyait lentement dans la tasse, avant de lever les yeux vers lui.

'Tu sembles absorbé par ce livre. Ça parle de quoi ?' demanda-t-elle, une étincelle de curiosité dans sa voix.

'Un peu de tout,' répondit-il, fermant doucement le livre. 'C'est un roman sur les âmes perdues qui cherchent leur chemin.'

Aminata haussait les sourcils, intriguée. 'Les âmes perdues ? C’est plutôt… ambitieux comme sujet.'

Il la regarda, un léger sourire aux lèvres. 'Et toi, tu sembles aimer les mystères, non ?'

Elle le toisa un instant, son regard à la fois distant et incisif. 'J'aime comprendre ce que les gens cachent. Mais c'est à toi de me le dire, non ?'

Leurs regards se croisèrent. Un instant suspendu. Il sourit, un sourire légèrement ironique.

'Peut-être qu'il n'y a rien à comprendre', dit-il, presque pour lui-même, mais avec une clarté qui fit frissonner Aminata.

Elle prit une gorgée de son café, en gardant son regard sur lui. Il semblait distant, mais pas froid. Attentif, mais d’une manière détournée, comme si chaque parole prononcée avait un poids, un sens caché.

'Tu sais,' dit-elle finalement, brisant le silence, 'je me demande parfois si les gens qui se rencontrent comme ça... savent vraiment ce qu’ils cherchent.'

Il la fixa, un instant perdu dans ses pensées, avant de répondre d'une voix calme : 'Peut-être que tout le monde cherche quelque chose, mais que personne ne le dit jamais à haute voix.'

Aminata esquissa un sourire. 'Tu parles comme un homme qui a déjà tout vu. Pourtant, je sens que tu n’as pas encore tout compris.'

Temps bonus (manque 01 vote) : 13 heures 31 minutes 32 secondes

3 chapitre(s)
6 suite(s) proposées
Action-Aventure

Retrouve moi si tu peux


"Haydan Everton, fils de monsieur Philip Everton et Kathleen Pearson. Il est entré à l'académie de La Royal Ballet School après une douzaine d'années en convalescence et y est ressorti danseur prodige. Désormais devenu un avocat célèbre.”

C'étaient les seules informations que Wally avait pu trouver après sa recherche sur le net sur cet homme mystérieux. Un grand danseur, un avocat de renom et un fils d’une des familles les plus prestigieuses d’Angleterre. Un gosse pourri gâté, pas étonnant qu’il ait été si hautain avec elle.

La sonnerie de la porte d’entrée la sortit de ses pensées. Cela devait sûrement être “encore” la voisine. Ces derniers temps, elle enchaînait les visites mettant Wally de plus en plus dans l’embarras. Mais ce jour-là fut différent des autres, car ce ne fut pas le visage de la voisine que Wally découvrit, mais celui d’un homme.

-Bonjour désolé de vous déranger, je suis Edward Mallow. J’habite juste à côté. En fait, c’est plutôt ma mère qui y habite. Enfin bref, je suis là pour vous donner ceci. Dit-il en lui offrant un bouquet de fleurs.

En voyant que Wally ne réagissait toujours pas, il continua :


- Ce sont des glaïeuls. Ils représentent la force, la fierté et la victoire, il était utilisé par les gladiateurs qui se rendaient sur l'arène. Mais c'est aussi une fleur qui symbolise, l'honneur, la loyauté, l'honnêteté et la persévérance. J’ai choisi ces fleurs en fonction des descriptions que ma mère me donnait sur vous, c’est un peu comme un super-pouvoir si vous voulez. Je vous passe l’adresse de ma boutique si vous êtes également une passionnée de fleurs.

Ils se regardèrent un bon moment avant que le voisin ne se décide à partir, un peu déçu de l’impassibilité de Wally.

Wally quant à elle, ferma la porte après avoir vérifié que le fils de sa voisine s’en était allé.


“ Telle mère telle fils” se disait-elle. Mais elle se sentait étrangement gênée et heureuse, c'était la première fois qu’on lui offrait des fleurs...

Elle mit les fleurs dans une des nombreuses vases opaques en céramique qu’elle possédait un peu partout dans l’appartement. “Les fleurs sont une source de bonheur et égayent votre intérieur et positivent votre humeur ! ” Lui avait conseillé une fois son psychiatre, le docteur Sharma.

Wally se rinça le visage, détailla chaque passerelle de celui-ci. De sa peau blanche tachée de rousseurs, de son nez passant par sa bouche fine rosée et pour finir sa chevelure. Cette chevelure qui autre fois était éclatante d’un rouge vif, mais actuellement teintent de couleur plus foncée. Son ancienne couleur de cheveux lui rappelait sans cesse le rouge qui couvrait sa mère...

Puis ses pensées dérivèrent sur ce que lui avait dit plus tôt Edward.

Le courage et la persévérance...

Ces deux mots suffirent à faire sourire Wally. Elle n’allait pas baisser les bras. Oui, elle allait voler jusqu’au but final qui lui apporterait la victoire.
Maintenant, il ne lui suffisait qu'à convaincre ce monsieur Haydan Everton.

Temps bonus (manque 01 vote) : 15 heures 57 minutes 16 secondes

1 chapitre(s)
1 suite(s) proposées
Romance

Black coffee for Christmas


Newyork, douze heures trente


Il était déjà midi et pendant que les autres prenaient leurs pose déjeuner, moi je restais là à finir de rédiger tout les documents qui étaient posées par ordre de couleur sur ma table de bureau, j'étais épuisée mais c'était un mal pour un bien.

Si je ne sacrifiais pas ce temps de repos j'aurais du retard sur mon travail, et compte tenu du fait que je travaillais auprès de l'un des hommes les plus puissants au monde cela ne m'était pas vraiment permis.

Qui était cette homme ? C'est la question que vous vous posez en ce moment.

Et bien, laissez-moi vous présenter Arthur WILLIAMSON.

PDG de la firme multinationale Williamson corporate, et l'un des hommes les plus puissants et riches de cette planète, mais plus connu encore pour sa beauté mâle et sombre, son charisme suprême, son autorité inébranlable et son calme imperturbable. l'archétype parfait du mal alpha.

En revanche, mon pire cauchemar je connaissais cet homme pour être un bourreau et tyran du travail, l'homme le plus impitoyable que j'avais eue à rencontrer de toute ma vie, je n'avais jamais vu quelqu'un épouser son travail avant cet homme mais surtout dégagé autant de froideur.

Et si moi Mika stone, étais autant sûr de ce que j'avançais, c'est simplement parce que j'étais l'assistante de Monsieur Williamson depuis 5 ans maintenant.


Au début je n'arrivais pas à bien faire mon travail dans cet univers des affaires et auprès de lui, après ses années je m'étais habitué à ce rythme de fer et je m'en sortais maintenant avec brio.

Mon téléphone se mit à sonner, je le sorti de mon sac et décrochait en voyant que c'était le numéro de ma sœur

-  coucou ma puce, comment vas-tu ?

- salut Mika, je me porte à merveille, il n'y a que ton neuve qui ne veut pas me laisser tranquille et ton beau frère qui n'arrête pas de m'étouffer, mais sinon tout va bien. J'imaginais son visage désespéré de l'autre côté de fil.

- et bien je vois que tu es sur un petit nuage, je disais ça pour la provoquer.

- oh je t'en prie ne rajoute pas ta couche là dessus. Dis-moi plutôt comment toi tu vas ?

- euh un peu comme toujours, je me porte bien, je suis au travail en ce moment même.

Dans ma tête, je la voyais lever les yeux au ciel en soupirant même sans être en face d'elle.

- et tu comptes nous ramener quelqu'un bientôt ? Un petit Ami ou un fiancée peut être ?

Cette fois c'était à moi de soupirer et de lever les yeux.

- oh je t'en prie, ne commence pas avec ça Thérèsia, j'ai déjà les parents derrière moi.

- et tu ne t'es pas dit que c'est peut être parce qu'ils veulent que tu sois heureuse ? Je sais que c'est difficile mais le passé c'est...

- et vous ne vous êtes même pas dit que j'avais besoin de temps ? Que j'essaie peut-être encore de me retrouver ?

Il a eu un moment de silence de l'autre côté du  fil, et je sentais que cette discussion prennent des tournures qui pourraient détruire ma journée.

- mika...

- écoute Thérèsia, il faut que je retrouve travailler, bonne journée.

J'étais un peu peiné de couper l'appel comme ça avec ma sœur, mais je ne voulait pas me disputer avec elle.

Après l'appel de ma sœur je me suis remise au travail, pour finir les nombreux documents qu'il me restait, vers trois heures de l'après midi j'avais reçu un email de mon boss qui me disait qu'il était parti et que je devais annuler ses derniers rendez vous du jour, il n'avait même pas dit pourquoi il était parti précipitamment.

Pas qu'il avait des comptes à me rendre mais quand même...

Non mais qu'est ce que je racontais moi encore ?

Je ferme mon ordinateur et range les choses sur ma table de bureau avant de sortir du building où je travaillais et de monté dans ma voiture.

♪♪♪ icu de coco jones ♪♪♪

J'arrive chez moi, en étant épuisé et je décide de me faire couler un bain pour me détendre, étant donné que le matin je ne peux que prendre une douche froide rapidement pour ne pas être en retard au travail, un bain chaud le soir viens compléter.

Et puis vivant à New York, fin novembre début décembre les températures changent radicalement ce qui nous fait passer au froid polaire.

Après mon bain, avoir mangé, fait la lessive et m'assurer que tout est nickel et propre dans mon appartement, je me mets dans mon lit avec un petit roman, pour pouvoir mieux profiter de ma soirée.

J'ai reçu quelques appels de ma sœur mais je n'avais absolument pas envie de parler avec elle ce soir, je n'avais envie de parler avec personne d'ailleurs, tout ce que je voulais c'était de me retrouver seule chez moi au calme et profiter de la vie comme si demain n'existait pas.

Je repense à la petite discussion que j'ai eu avec ma sœur, je ne sais pas trop quoi penser de ça, qu'est ce que vous ferez vous ? Si vous venez à être séparé brutalement de l'homme que vous aimez ? Même après quelques années est ce que vous arriverez à vous remettre dans les bras d'un autre aussi rapidement et facilement ?

Et même si c'était le cas ? Après la mort de votre Mari, est-ce que vous arriverez encore à aimer autant que vous l'avez aimé ?

C'est sur ces questionnements que je fermais mes yeux ce soir, en espérant que le lendemain arrive rapidement.

Temps bonus (manque 01 vote) : 14 heures 12 minutes 06 secondes

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Réel

Marc et Clara


Le bruit du téléphone brisa le silence de la nuit. L’écran affichait un numéro inconnu. Clara hésita un instant avant de décrocher. Il était 3 heures du matin, et elle n’avait pas l’habitude de recevoir des appels à cette heure-là.

— "Clara ?" dit une voix familière mais brisée. "C'est moi, Marc."

Un frisson parcourut son échine. Marc. Son premier amour, celui qu’elle n’avait pas vu depuis dix ans. Celui qui, un jour, était parti sans un mot, comme si tout était devenu un souvenir lointain. Pourquoi l'appelait-il maintenant, après toutes ces années ?

— "Marc ? Mais… pourquoi… après tout ce temps ?"

La voix au bout du fil était tremblante, presque étranglée par l’émotion.

— "Je… Je ne sais pas comment te dire ça, Clara… Je crois que j’ai fait une erreur, une erreur irréparable. Mais il est encore temps…"

Clara sentit son cœur s’emballer. Elle savait, au fond d’elle, que cet appel n’était pas une simple coïncidence. Une partie d’elle l’avait toujours attendu, tout en sachant que le passé ne pouvait pas être effacé. Mais pourquoi maintenant ? Pourquoi ce soir, alors qu’elle avait reconstruit sa vie, loin de lui, loin de tout ce qu’il représentait ?

Temps bonus (manque 01 vote) : 05 heures 52 minutes 42 secondes

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